Cette notion fait référence à une perception individuelle et collectivement partagée des conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail et leur capacité à s’exprimer et à agir sur celui-ci.
Son objectif n’est pas de neutraliser les facteurs de risques psychosociaux mais d’augmenter les ressources de vos employés leur permettant de faire face aux facteurs non maîtrisables.
Selon l’ANACT, les déterminants de la QVT pourraient être classés en 6 catégories :
L’accord national interprofessionnel du 19 juin 2013 intitulé « vers une politique d’amélioration de la qualité de vie au travail et de l’égalité professionnelle » fait suite à d’autres accords portant sur l’égalité professionnelle, sur le stress au travail, sur la prévention du harcèlement et de la violence au travail.
Il propose une méthode explicitant le rôle de chaque acteur et les domaines pour lesquels des thèmes pourront être retenus par les négociateurs de l’entreprise.
Cet accord valable 3 ans, a d’abord été mis en place dans une optique expérimentale afin de pouvoir apprécier les premières applications. A ce jour, il n’y a donc aucun caractère obligatoire pour les entreprises.
Premièrement, une phase de préparation impliquant les partenaires sociaux nous permettra de comprendre vos motivations et de déterminer ensemble les moyens à mettre en œuvre pour l’atteinte de vos objectifs. Après avoir co-réalisé un diagnostic, des groupes de travail seront créés afin de proposer des actions. Ces dernières seront testées à petite échelle sur une période déterminée puis le cas échéant, déployées dans toute votre structure.
Chaque entreprise est différente, il n’y a donc pas d’actions type. L’amélioration de la QVT s’inscrit dans le temps d’où la nécessité d’interroger annuellement la pertinence des actions mises en place dans un contexte donné. Dès lors que vous vous engagez dans cette démarche, la QVT doit faire partie de vos objectifs stratégiques.